Montrer/cacher la suite du texte de quête Si les éfrits de l'autel continuent d'encercler ma maison, je suis condamnée à rester coincé sur ce toit, sans aucune chance de rentrer chez moi ni de m'enfuir. Dieu merci, tu es là ! Ces immondes éfrits ! Si tu pouvais faire un peu de ménage dans mon jardin, ça m'arrangerait...
Vu comme c'est parti, je suis foutu. Et la nuit va tomber...
Tu m'as sauvé la vie ! Je ne te remercierai jamais assez de m'avoir secouru ! |